À la maison, nous sommes des ‘locageeks’. Il est très fréquent aux repas que  nos enfants passent des commentaires du genre : ‘est-ce que c’est le fromage qui est fait avec le lait de la ferme de la maman d’Alek?’ ou encore ‘Moi si ce n’est pas les concombres d’Anny je n’en mange pas!’ et le mystère classique ‘Mais je ne comprends pas, c’est qui qui a fait les Cheerios?’.

C’est la troisième année que nous démarrons nos plants dans une vraie serre professionnelle. C’est un réel bonheur à chaque fois d’y réveiller le printemps quelques semaines en avance.

Vous nous le demandez depuis plusieurs années, et c’est maintenant que cela se fait.
8 semaines de paniers bio hebdomadaires, du 11 juillet au 29 août.
Point de ramassage à la ferme à St-Bruno-de-Guigues, les vendredis de 15h à 18h.

En ce moment, dans notre beau Témis, il y a beaucoup de belles initiatives qui mijotent et développent leurs saveurs doucement.

Il existe des irréductibles qui veulent voir neiger jusqu’au début avril. On les appelle des producteurs de fraises.

Des insectes dans un jardin, il y en a beaucoup. Plusieurs sont inoffensifs pour vos cultures. Ils sont même souhaitables dans votre jardin pour la biodiversité qu’ils y apportent. D’autres pourraient toutefois vous causer quelques soucis.

En régie biologique, pour prévenir ou diminuer les dégâts causés par différents insectes nuisibles, nous introduisons des insectes auxiliaires élevés par des fournisseurs spécialisés.

Le temps des fraises pour nous, cela ne se passe pas seulement dans les champs. Il y plus de 20 ans, nous avons débuté notre aventure de transformation de la fraise afin de diminuer les pertes qui peuvent être très importantes dans cette culture.

Pour faire un réel changement, il faudra modifier tous ensemble notre perception du paysage. Parce qu’après tout, un gazon vert bien tondu n’est rien d’autre qu’une monoculture peu invitante pour la majorité des espèces vivantes.

Nordvie Betterave

Souveraineté alimentaire. Autosuffisance. Ce sont des mots qu’on entend de plus en plus, et on ne fait pas que les entendre, on les voit, on les vit.
Dans les dernières semaines, le climat d’incertitude a créé une véritable ruée vers le potager et la basse-cour.